Road to Salvation
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 James Russell Parker

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James Parker
James Parker

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MessageSujet: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 02:36

« James. Russell. Parker »

    James Russell Parker X0w56s
    © Machine

    __Date de naissance & Age : 22 mars 1979, 30 ans
    __Lieu de naissance : Cleveland, Ohio
    __Lieu de résidence : Dans une banale chambre d’hôtel à Edgerton pour l’instant
    __Situation familiale :Célibataire (« c’est compliqué »)
    __Occupation/Emploi :Au chômage, mais compte bien se trouver un emploi ou un autre dans le domaine de la sécurité privée de bas étages, gardien par exemple…

    __Caractère :
    James possède ce type de personnalité qui semble fonctionner qu’en deux temps, tantôt agréable et admirable, tantôt détestable et idéal que pour se mettre les pieds dans les plats. En temps normal, il est un homme brave, déterminé, futé, intrépide et compréhensif, possédant un grand sens moral et ce charme bon garçon (boyish charm?). Cependant, une part de ces qualités deviennent rapidement les déclencheurs de réactions nocives lorsque mis en présence des mauvais éléments : sa vivacité d’esprit se transforme rapidement en méfiance souvent injustifiée alors que sa préoccupation du bien et de l’ordre le pousse à des réactions démesurées lorsqu’il croit être face à une injustice.
    Par exemple, cette méfiance chronique le pousse par moment à être individualiste, voir égocentrique lorsque ses soupçons semblent le moindrement confirmés.
    Pour ce qui est de son allergie aux injustices, elle est telle qu’elle le pousse aux actes de défiance et d’insubordination, à une impulsivité casse-cou si cela l’aide à démontrer qu’une cause le tient à cœur. Un bon officier supérieur se méritera le respect et l’attention de Parker, mais si un de ses supérieurs au boulot ou dans la société venait à se montrer malhonnête, biaisé ou tout simplement insuffisamment préoccupé par un problème, James n’hésitera pas à faire du bruit et s’opposer ouvertement. Un criminel repentant ou humble ne se frottera qu’à du professionnalisme de la part de l’homme, mais si un caïd ou une petite frappe venait à le provoquer ou à se montrer à lui en prétendant l’impunité, Parker n’hésitera pas une seconde pour relever ce défi et chercher à stopper le déviant, peu importe le prix. Ses talents de pugiliste, sa témérité et sa langue bien pendue deviendront les outils de ses tumultueuses confrontations, elles-mêmes le menant souvent dans de beaux draps, évidemment.
    Et bien sûr, avec les derniers évènements de sa vie, ses proches pourraient croire qu’il dérape lentement vers une forme de folie d’obsession excessive, mais cela, évidemment il le niera en bloc.

    __Histoire :

    « And a Happy New Year… » Manhattan, New-York, 1e janvier 2006


    Ils n’eurent pas même pris la peine de défaire les draps quelques heures auparavant lorsque la New-Yorkaise italienne aux traits de poupée l’entraîna avec empressement dans son loft pour le plaquer contre son lit. C’était la raison pourquoi, chacun exténué par la fougue ardente de son égal, les deux amants se trouvaient maintenant à extirper quelques coussins coincés sous eux et à se glisser sous la couette en poussant quelques ricanements complices et espiègles, projetant de terminer leur soirée improvisée du jour de l’an lovés dans les bras l’un de l’autre. Et dire que James prit l’autobus depuis son Cleveland natal seulement pour assister aux festivités habituelles de la ville à la veille des nouvelles années, rencontrer par hasard une jolie jeune femme à la fois brillante et enflammée puis finir la soirée avec elle ne faisait pas vraiment partie de ses plans. Ce n’est pas non plus comme s’il regrettait l’innovation…

    -Alors, il y a autre chose que je devrais savoir sur toi? L’étape des présentations n’a pas fait long feu tout à l’heure au club… Ronronna la femme en se collant au flanc de l’homme pour appuyer sa tête sur son épaule.

    -Je suis patrouilleur au Cleveland P.D. depuis environ un an… ils m’ont presque botté l’arrière-train hors de l’Académie, mais pas par faute de talent… se mi t’-il à se prêter au jeu.

    –Tu veux rire! À voir la façon dont tu t’es engueulé avec le gardien quand nous sommes allés acheter la bière, on n’y croirait pas du tout!

    -Il accusait le gamin de vol à l’étalage alors qu’il n’avait rien prit, que voulais-tu que je fasse?!

    –M’ouais, ça j’n’avais pas remarqué… En fait, je pari que tu jouais aux héros dans la cour de récré quand tu étais gosse! Elle poussa un rire en voyant l’expression froissé sur son visage. Quoi d’autres sinon, tu as de la famille?

    -J’ai un grand frère, il est notaire, une petite sœur, qui bosse dans une ambassade en Australie… Mon père fait de la recherche et développement dans le domaine alimentaire et ma mère était inspectrice en salubrité dans des fermes au Wisconsin avant de prendre sa retraite…

    –Wisconsin? Wow!...

    -Ne te moques pas, c’est pas si mal le Wisconsin… Enfin bref, au final on peut aussi dire que j’ai eu un enfance tranquille dans une jeune banlieue sans histoire, que j’ai choisi un métier qui fait frémir mes parents et qui confirme que je suis le plus cinglé de leurs trois gosses…

    –Faut pas dire ça, si tes parents sont des gens bien, je suis sûre qu’au fond ils sont fiers de ce que tu fais. C’est seulement normal qu’ils s’inquiètent si t’es aussi tête brûlée avec les vilains vilains criminels! Ricana-t-elle en lui dérobant un baisé.

    -M’ouais, t’as sûrement raison… Soupira-t-il, attirant la femme plus près de lui, lui caressant distraitement l’épaule.

    Il silence contemplatif s’installa dans le loft. À l’extérieur, quelques fêtards s’amusaient à faire éclater des chaînes de pétards en hurlant comme des loups à la pleine lune l’arrivée de l’an nouveau.


    « To Face the Music » Cleveland, Ohio, 12 décembre 2007


    Ce n’était pas pour prendre sa déposition une fois de plus que James fut convoqué au le bureau régional le lendemain même, ça il le savait. Non : cette fois, c’allait être pour rencontrer un envoyé des affaires internes et quelques grosses pointures qui n’allaient assurément pas même écouter ce qu’il dirait malgré tout. Il se trouva affecté à des tâches de bureau le jour suivant l’incident, et dès que l’enquête officielle débuterait, il se trouverait suspendu avec salaire jusqu’à ce que l’on décide de son sort officiellement. Officieusement, James se voyait déjà renvoyé des forces de l’ordre, ce n’était qu’une question de temps : après tout, bon nombre d’officiers ne rêvaient que de voir leur agent rebelle mis à pied une fois pour toute, même s’ils s’efforçaient toujours de le pousser à démissionner de lui-même en le cantonnant aux patrouilles dans les quartiers les plus chauds de la ville.

    Pourtant, ce n’était pas ce qui préoccupait le plus le jeune homme…
    Il poussa un soupir et s’assis sur le coin de son lit : ne trouvant pas le sommeil, il se repassa en esprit les évènements de la tragédie survenue il y a quelques jours.

    Le central reçu un appel d’un témoin ayant entendu des coups de feux dans un immeuble à appartements, son nouveau coéquipier et lui, étant à proximité, furent dépêchés sur les lieux. Cela ne faisait que peu de temps qu’ils patrouillaient ensemble, le précédant partenaire de Parker venant à peine de se retirer pour une retraite bien mérité.
    Un homme armé sortit et détala à tout vitesse à peine venaient-ils de descendre de la voiture, et James, après avoir lancé à son équipier d’aller voit à l’intérieur s’il y avait des blessés, s’élança dans une poursuite à pied du tireur. Malgré tous ses efforts, le suspect profita du flot du trafic pour mettre suffisamment de distance entre lui et le policier pour sauter à bord du véhicule de ses complices et quitter les lieux à toute allure.
    Après avoir signalé l’incident et donné la description du tireur et du véhicule, James revint sur ses pas puis contacta son coéquipier, sans toutefois recevoir de réponse. Le bruit de sirènes d’ambulances et d’autres voitures de leur brigade se fit entendre à proximité et, de retour sur les lieux, il put voir qu’ils étaient déjà au rendez-vous. Ce fut en voyant l’expression sur le visage des hommes présents qu’il sut que quelque chose clochait, et avec raison : il y avait assurément un autre voyou armé dans les parages puisque l’on retrouva son coéquipier mort, atteint de plusieurs balles à la poitrine. Tout indiquait qu’une deuxième fusillade se produit sur les lieux, mais aucune trace du second tireur.
    Pour celui qu’il poursuivit, une analyste que James connaissait prétend qu’il fut possible de l’identifier et de le lier à un nom connu en ville, et bien que le policier lui promit maintes faveurs en retour, elle n’eut pas encore pu soutirer de l’information sur ce dossier en particulier.

    Et dire que s’il ne s’était pas lancé à la suite du suspect tout seul, il aurait pu préserver la vie d’un policier… James passa ses mains dans sa courtes chevelure : non, il ne devait pas songer à cela, c’était de la faute de ces criminels après tout. Il devait donc à tout prix les retrouver, il allait devoir se focaliser sur cette idée et s’assurer que la justice mette la main sur les coupables.


    « Gloom » Harrisburg, Pennsylvanie, 27 avril 2008

    « C’était des hommes de main venus régler le compte d’un ancien acolyte devenu junky, endetté et désespéré au point de tirer sur un policier… Et cette joyeuse bande bossait toute pour une fine râclure de bookmaker local bien connu par nos services : Diouk! Lui il est comme Prince ou Madonna : il veut qu’on n’l’appelle que Diouk, parce que, s’il n’y avait pas eu tous ces dossiers en cours portant son nom en grosses lettres rouges, on n’pourrait jamais deviner qu’il est un gros poisson parmi la racaille! » S’exclama James d’un ton envenimé par d’agressifs sarcasmes alors qu’il récupéra son t-shirt traînant au pied du lit.

    La New Yorkaise au visage de poupée eut à faire dans l’état voisin et se mit d’accord avec Parker pour passer une nuit ensemble à sa chambre de motel afin d’évacuer le stress de leur quotidien. Quoique, vraisemblablement, l’homme n’arrivait pas à se libérer l’esprit de ce qui l’accablait.

    La femme, elle, poursuivait sa séance de coiffure dans la salle de bain, son silence réprobateur.


    « Et en plus l’affaire stagne, toujours pour la même raison, le manque de preuve ! Non, en fait les deux affaires stagnent : je suis toujours suspendu à attendre que les bureaucrates raté et les lèches-bottes à la tête de cette micro commission d’enquête aient fini de débattre je ne sais quoi à mon sujet ! Qu’est-ce que je suis sensé faire pendant ce temps, regarder les soaps latino-américains à la télé pendant que le booky pourrissant la ville se pavane librement dans les rues avec ses laquais?! »

    La femme ne répondit toujours par à ce monologue acerbe, s’attaquant maintenant à son maquillage.
    James changeait un peu plus à chacune de leurs rencontres, et pas pour le mieux.

    Un silence tendu s’étira un instant avant que l’homme ne reprenne parole, son ton maintenant d’un calme surréel :


    « J’ai trouvé son terrier : un bar où il passe presque toutes ses soirées de semaine…»

    À ces mots, la femme se figea et déposa lentement le tube de rouge à lèvre qu’elle tenait.

    - James, pourquoi es-tu venu ici?

    - Je n’comprends pas… Fit-il en enfilant son t-shirt.

    - C’est pour faire tes adieux avant d’aller te faire tuer, c’est ça ? Parce qu’avec ce que tu dis à l’instant et le fait que maintenant tu rôdes autour d’un assassin, ça en a tout l’air!

    - Rôder autour des assassins, comme tu dis, c’était mon boulot de tous les jours, je ne vois pas pourquoi le faire maintenant serait pire que ce n’l’était…

    - C’est là que tu te trompes. Si ma grand-mère était ici, elle dirait que tu es possédé par la noirceur de tes idées…

    - Pourquoi laisserait-on ta grand-mère entrer dans cette chambre de toute façon ?

    - Tu t’es entendu parler ? Tu dis vraiment n’importe quoi et tu ne vois pas même ce qui t’pend au bout du nez… Tu es devenu obsédé!

    James ne répondit pas, sa saisissant plutôt de sa veste de cuir style motard qui traînait sur le sofa usé. La femme poussa un soupir, regardant longuement son reflet dans la glace sans vraiment le voir.

    « Reste loin de ce Diouk et de son bar, laisse les autres flics s’en charger. » Finit-elle par dire d’une voix éteinte.

    “Peu importe”

    Sur ces mots marmonnés, l’homme se dirigea d’un pas colérique vers la sortie et quitta la chambre de motel en claquant la porte.
    Après tout, le plus risqué dans cette histoire était de laisser le bookmaker en liberté, pensa-t-il. Il était plutôt déterminé : il devait confronter l’homme et lui dire deux mots en face à face…


    « Consequences » Cleveland, Ohio, 17 octobre 2008

    Il s’eut probablement arraché la peau des poings et brisé une ou deux métacarpes à leur base à force de puissants coups au visage des hommes de main, ses doigts pliant à peine et lui faisant un mal de chien. Ses avant-bras souffraient de profondes ecchymoses défensives et de lacérations causées par des tessons de bouteilles, sa lèvre fendue et son sourcil droit éclaté lui bariolaient le visage d’un flot constant de sang frais. Il devait avoir une côte fêlée ainsi que d’innombrables bleus de taille sur tout le corps. Par-dessus tout, son flanc gauche lui élançait horriblement alors que ses vêtements se saturaient d’hémoglobine bouillante, une longue plaie atteignant l’os par endroits étant la source de ces souffrances. Un homme de Diouk se fut saisi d’un balisong pendant la cohue –celle-là même que Parker provoqua pendant une discussion houleuse en territoire ennemi- et lui infligea une blessure qui lui aurait assurément été fatale s’il n’avait pas dévié une partie du coup et empêché la lame de pénétrer entre deux côtes.
    Cependant, pour Parker les conséquences de son entêtement et de son impertinence étaient presque entièrement oubliées lorsqu’il aperçut, au milieu du chaos des arrestations qui régnait devant le Pub irlandais de l’infâme booky, le propriétaire lui-même titubant vers les véhicules d’urgence en couvrant son nez ensanglanté. Aucun policier n’était en train de lui passer les menottes alors que presque la moitié du pub fut mise aux arrêts à l’instant : malgré son nez cassé, encore une fois Diouk s’en tirait…

    Une vague de rage et une montée d’adrénaline saisirent James, si bien que l’homme aurait bondit au sol et se serait jeté sur le criminel pour poursuivre la bagarre si seulement une dizaine de mains puissantes ainsi que des sangles-velcro ne le maintenaient pas fermement couché sur une civière d’ambulance.

    Cela ne l’empêcha tout de même pas de se débattre comme un diable dans l’eau bénite tout en ignorant la douleur, puis les protestations et avertissements des ambulanciers et policiers qui l’entouraient.


    « Ce type est malade! Il s’est pointé dans mon pub, ne m’a pas cesser de m’insulter et m’a brutalement agressé sans la moindre foutu raison! Et comme si ce n’était pas suffisant, il s’en est pris en plus à mes employés comme un sauvage! Un flic pourri qui attaque et harcèle d’honnêtes citoyens, quelle honte! » Beugla le bookmaker, assez rusé et perfide pour jouer aux victimes, bien que ne s’empêchant pas de laisser sa furie transpirer dans son ton.

    « Honnête?! Sale menteur! Tu n’t’en tireras pas comme ça, salopard! Je vais te coffrer et tu vas pourrir en cage pour le restant de tes jours tu m’entends! » Hurla James en retour, le souffle court et sifflant et la voix rauque.

    Il fut distrait un instant par une piqure aigu au creux de son coude, n’ayant que le temps d’apercevoir une main récupérant une seringue vide de calmant à action rapide. Il ignora carrément le flot de réprimandes sortant de la bouche d’un de ses collègues penché au-dessus de lui.


    « Tu peux toujours rêver p’tit crétin : je vais porter plainte et tu vas perdre ton badge à coup sûr, croit-moi! » Diouk fit en retour, suivant à distance l’équipe transportant le blessé vers leur véhicule.

    James gronda entre ses dents serrées tel un fauve enragé alors qu’on poussait sa civière dans l’ambulance, les étourdissements qui l’embrouillaient maintenant l’empêchant toutefois de trouver les mots pour répondre à la menace.
    Il tenta de se débattre à nouveau –sans plus de succès- posant un regard assassin le plus longtemps possible le criminel notoire.
    La léthargie eut finalement raison de lui à peine venait-on de refermer les portières de l’ambulance, et James succomba à l’appel du sommeil artificiel, ne se doutant pas qu’il se réveillerait dans un pétrin encore beaucoup grand qu’il ne l’était déjà.



    « On the Road Again » sur la route d’Edgerton, Missouri, 28 juillet 2009


    Il évita un procès pour voies de fait graves et autres accusations lorsque Diouk retira ses plaintes, ce dernier préférant plutôt mettre la pression sur James en envoyant ses propres hommes le traquer, le harceler et le menacer aussi souvent qu’ils le pouvaient. Pourtant, cela ne servait pas de punition suffisante à la mesure du courroux des affaires internes : l’enquête sur le cas de Parker se conclue d’un coup et on lui retira son badge sur le champ pour sa bévue sans nom.

    L’homme se retrouvait donc sans emplois et sans répit alors qu’un assassin était toujours libre dans la nature, la seule solution qu’il possédait pour retrouver son ancienne vie et faire régner la justice étant de donner un coup de pouce aux enquêtes en cours sur ce Diouk pour la régler une bonne fois pour toute. La tempête qui s’ensuivit de son petit règlement de compte à la taverne et la période de repos forcé à l’hôpital furent suffisant pour que James réévalue ses stratégies et en vienne à la conclusion qu’une approche directe et sans réflexion lui était nuisible en tout point. Retour au plan A : trouver des preuves, mais surtout trouver des témoins moindrement fiable pour porter plainte et témoigner contre le booky.

    A force d’investigations, un témoin potentiel se démarqua des autres: un certain Samuel Donnelly. Il avait le profil parfait : une petite frappe avec un casier judiciaire plutôt fourni, issu d’une famille nombreuse sans trop d’histoires, ayant servit Diouk plusieurs fois dans le passé, l’ayant fréquenté durant plusieurs années, et surtout, possédant des dettes considérables envers le bookmaker.

    Son ancien partenaire à la retraite, non sans exaspération, le mit sur la piste d’un indicateur connaissant l’oncle de Donnelly, ce dernier lui apprenant la raison pourquoi le potentiel témoin était introuvable : il eut déménagé pour une petite ville du Midwest, Grayson.

    Un coin tellement paumé que, lorsqu’il décida de s’y rendre lui aussi pour faire d’une pierre deux coups –tenter de convaincre Donnelly et défendre sa peau contre les hommes de Diouk le temps que la tension baisse un peu- il ne put que dénicher une chambre d’hôtel dans une ville voisine afin d’habiter la région temporairement.

    Ce fut donc pour cette raison que James Russell Parker se trouvait à rouler à bonne allure sur une autoroute bordée de campagne par une chaude journée d’été, l’arrière de sa vieille Jeep pleine à craquer de ses effets personnels et l’esprit plein de détermination. Repensant à toute cette histoire, il réajusta distraitement son rétroviseur, tentant encore une fois de se convaincre que son italienne à visage de poupée n’avait pas eu raison après tout en lui conseillant de se tenir loin de ce Diouk.


    __Vos sentiments sur Grayson ? :
    « James ne connait rien de Grayson et des mystères qui l’entourent, rien des disparitions étranges et des raisons qui poussèrent les Donnelly à s’y rendre.» (Billie, 2012, PV sur Mesure, James R. Parker)
    __Pourquoi être venu à Grayson ? :
    « Il est là dans l’espoir un peu vain de recoller les morceaux de sa carrière et n’a pour l’instant que cette idée là en tête. C’est ce qui s’appelle être au mauvais endroit au mauvais moment, il le découvrira bien assez vite, car Grayson elle, sait déjà tout ce qu’il y à savoir sur James... » (Ibid.… XD ouais, je cite B. quoi, que dire de plus c’était assez clair et juste!)]


« Vous, derrière l'écran »
    __Votre prénom/pseudo : Machinegun_arg, aka Machine
    __Votre âge : 21
    __Comment avez-vous connu le forum ? : Lors d’un blind date!
    __Comment le trouvez-vous ? :Je l’ai mis dans mes favoris, c’est plus facile il ne suffit que d’un clic Razz Bwaha, sérieux il est génial!
    __Avatar : Scott Porter
    __Votre présence sur le forum : Variable selon les études, mais là je suis franchement motivée (depuis que Tricksters est en hiatus officieusement .__.)/7

    __Code du règlement : OK

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Logan Redd
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 02:48

IIIIIHHH \o/
J'suis émue, mon premier PV sur demande qui prend vie (bon entre temps une petite demoiselle t'a doublé mais tout de même ! lol)

RE-bienvenue Potato queen de mon coeur !
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Aidan S. Donnelly
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 02:54

On avait donc dit que cette fiche serait courte ! Bravo Machine : défi relevé ! clap clap /sbaff/
Je lirai tout ça demain, là j'ai plus les yeux en face des trous. J'ai hâte ! Très bel avatar au passage.

REbienvenue ^^
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James Parker
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 02:58

Aaaaaaaahhh c'est-pas-ma-faute-c'est-Billie-qui-a-fait-une- histoire-trop-bien-et-j'ai-pas-pu-m'en-empêcher >__<
pas tapper pas tapper! pale

mdr XD bon, ok, c'est ma faute, disoulé .__.

Aaw, merci beaucoup mesdames! ^^ Moi j'dis ça promet!
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Logan Redd
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 03:04

Mwaaah mais c'était naïf de sa part d'espérer que tu pourrais faire court. Sans parler que toi aussi t'y as cru, t'as même essayé ! FOLIE !
Laissons-nous aller à la longueur, c'pas comme si on allait la lire 47 fois et faut s'faire plaisir, c'pour ça qu'on est tous réunis ici ce soir mes cher amis *rire inquiétant*
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 03:43

Welcome Smile.
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 14:05

Bienvenue ^^
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 14:07

Bienvenue sur “Road to Salvation”…
    …et merci de ton inscription. J'ai trouvé la force intérieure pour me lancer dans la lecture de ta fiche et comme toujours, j'ai dévoré ça comme du bon petit pain (français et avec du fromage, siouplé XD) ! J'suis toujours aussi accrochée par ton style et la justesse de tes dialogues. L'histoire est bien ficelée, on retrouve ton sens inné du détail qui permet de crédibiliser un peu le tout, en gros c'est parfait.
    Et puis bien évidemment, par-ci, par-là, on trouve de véritables perles comiques ! (coup de coeur pour le "Pourquoi laisserait-on ta grand-mère entrer dans cette chambre de toute façon ?")

    Je ne vois rien d’autre à ajouter et te valide. Tu peux désormais poster dans toutes les catégories du forum et commencer à RPer. La section gestion du personnage te permettra de te créer un répertoire de liens et de trier tes sujets (pour rappelle, les sujets doivent être rangés par joueur, tu peux consulter le règlement de cette section pour en savoir plus).

    Le flood des RP pourra te permettre de communiquer avec les autres joueurs une fois tes sujets lancés.

    Ayant choisi un OUTSIDERS tu remportes dores et déjà 15pts à dépenser comme tu le souhaites ! Pour voir ce qu'ils te permettent d'obtenir, tu peux consulter le sujet d'explication du système de points du forum.

    Have fun !


    -Le staff de RTS
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Samuel T. Donnelly
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 18:57

C'est quoi ta définition de l'expression "plus court"? Nan parce que il se peut que la barrière des langues se joue encore de nous lol.

Super fiche. Et re bienvenue, même si Sam n'a pas vraiment hâte de te voir hehe.
See you Captain'
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James Parker
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 21:28

Oh génial!
Merci à toute, merci beaucoup Scarecrow (ne me tue pas TT__TT)

@Honey (c'est bien ça oui, je n'me trompes pas? <_<): M'ouais, désoulée, les pâtés c'est mon vice... bien que j'aurais pu faire pire
Mais j'ai réussi à faire l'histoire et le caractère hyper méga court au début sur ma page de demande de liens page que j'ai brisé je ne sais trop comment en codant comme une m*rde...

Et, ouais, pauvre Sam'! J'espère que je n'm'impose pas trop en faisant le stalker attitré XD
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 21:38

J'avoue Machine, tu me pourri tout mon forum avec tes liens là XD J'ai tenté de regarder moi-même ce qui clochait mais je trouve pas et j'suis sur le départ alors pas le temps de vraiment m'y pencher AAAAAH sos
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 21:50

M'ouais, y'a que moi pour briser internet... .__.


Ça dérange tant que ça? Au pire je retire et remet le texte sans code c'est tout
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Colleen P. Jefferson
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitimeJeu 01 Mar 2012, 23:08

<3 Hellow !
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MessageSujet: Re: James Russell Parker   James Russell Parker Icon_minitime

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James Russell Parker

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