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 Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme

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Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Vide
MessageSujet: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 02:52

« Cole James Stevens »

    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Avatar51
    © Yumiita

    __Date de naissance & Age : 13/06/1980 - 29 ans
    __Lieu de naissance : San Francisco
    __Lieu de résidence : East Jefferson Street
    __Situation familiale : Célibataire
    __Occupation/Emploi : Militaire

    __Caractère : D'un naturel plutôt réservé, Cole ne se dirige pas de lui-même vers autrui, il préfère que l'on fasse le premier pas. Encore faut-il qu'il en laisse le temps à son interlocuteur. En effet, il est assez instable, ce que n'arrange en rien sa prise d’antidépresseurs et l'on ne sait jamais trop quelle va être sa réaction. Mieux vaut donc prendre des pincettes lorsqu'on l'aborde. On pourrait le qualifier de désabusé, il en a déjà trop vu malgré son jeune âge, il a côtoyé de près la folie et l'horreur, il ne se fait donc plus trop d'illusions sur la nature humaine. Il ne crois plus franchement en rien. Qu'on ne lui parle surtout pas de solidarité, d'entraide, tout cela n'est que foutaise, il sait de quoi l'être humain est capable. Un brin manipulateur, il changera ses opinions, ses comportements, ses sentiments selon les personnes ou les situations et n'hésitera pas à mentir ou bien a prêcher le faux pour savoir le vrai. Il brille également par sa réflexion, jamais il ne prendra une décision sans avoir auparavant murement réfléchi, pesant le pour et le contre avec beaucoup d'attention. Cela l'empêche d'ailleurs souvent de profiter de l'instant présent.

    __Histoire :
    Spoiler:

    ▬ FLASHBACK ▬
    Bureau du Dr Helïna Thompson - 20/05/2006 , 4.15 p.m
    Helïna Thompson, Cole Stevens

    Dr Thompson ▬ Bonjour M. Stevens, vous m'êtes adressé par le Dr Morales, celui-ci m'a fait parvenir votre dossier ainsi que les différents enregistrement de vos séances précédentes, je n'ai pas pris la peine de les consulter, je préfère tout reprendre depuis le début, si vous n'y voyez pas d'inconvénients bien entendu !
    Cole ▬ (marmonnement) Nmmh …
    Dr Thompson ▬ Très bien. Pouvez-vous me parler de votre enfance s'il vous plait ?
    Cole ▬ Qu'est-ce que mon enfance vient foutre ici ?
    Dr Thompson ▬ Cela va m'aider à mieux appréhender votre situation, ce que vous êtes et pourquoi vous en êtes arrivé ici.
    Cole ▬ Tout ça c'est que des conneries.
    Dr Thompson ▬ Votre enfance M. Stevens …
    Cole ▬ (soupirs) Je suis né et j'ai grandi à San Francisco... ça vous va ?
    Dr Thompson ▬ Développez s'il vous plait. Parlez moi de vos relations avec vos parents.
    Cole ▬ Je suis fils unique, ce qui fait sans doute de moi une personne restant dans le giron de sa mère.
    Dr Thompson ▬ D'accord, développez le lien que vous entretenez avec votre mère ou que vous avez entretenu... sans toutefois faire de psychologie de bas étage (bruit de stylo grattant le papier)
    Cole ▬ (nouveau soupir) Je suis et j'ai toujours été très proche de ma mère, bien qu'elle m'ait toujours surprotégé, elle a aussi été très exigeante envers moi... Il fallait filer droit si vous voyez ce que je veux dire. Il n'y avait pas de place pour la médiocrité. J'ai peut-être eu un lien un peu trop exclusif avec elle...
    Dr Thompson ▬ (bruit de stylo grattant toujours le papier) Un peu trop exclusif ? Développez s'il vous plait.
    Cole ▬ (bougonnement) Développez, développez...
    Dr Thompson ▬ (bruit sourd de calepin tombant lourdement sur le bureau) M. Stevens, je ne suis pas plus heureuse que vous de perdre mon temps... alors faites vite s'il vous plait.
    Cole ▬ (toussotement) Ma mère et moi on a toujours été … fusionnels, ce qui était loin de plaire à tout le monde... mon père notamment. Il devait nourrir une certaine jalousie à l'égard de cette relation. Notre propre relation s'en ai ressentie, ça a toujours été tendu entre nous. Pour ne pas dire conflictuel. On a souvent été à deux doigts de se foutre sur la tête.
    Dr Thompson ▬ Parlez moi de votre adolescence maintenant.
    Cole ▬ Nan mais on va pas passer en revue toute ma vie non plus. Vous voulez peut-être connaître le nombre de mes conquêtes aussi ?
    Dr Thompson ▬ M. Stevens, contentez-vous de parler de votre adolescence. Bien qu'intéressant, le nombre de vos conquêtes est pour le moment hors sujet. Je vous ai dis que je reprenais tout depuis le début en plus de cela !
    Cole ▬ (ricanement) Intéressant ? J'ai eu une adolescence difficile. J'ai fais pas mal de conneries dont je ne suis pas vraiment fier... Comme du vol à l'étalage... Le genre de conneries qu'on fait lorsqu'on est jeune et con quoi. Tout ça dans le but de défier le paternel...
    Dr Thompson ▬ C'est tout pour aujourd'hui. Veuillez prendre rendez-vous auprès de ma secrétaire pour une nouvelle consultation.

    ▬ FLASHBACK ▬
    Irak - 23/12/2006 , 10.15 a.m
    US Army - 40th Infantry Division (Mechanized) – 1St Lieutenant Stevens, 2nd Lieutenant Scott, 2nd Lieutenant Greene, Captain Gallagher...

    Il n'était pas spécialement tôt ce matin là, 10h15 indiquait la montre du Lieutenant Stevens. Malgré l'heure encore matinale pour un Américain moyen, le soleil nimbait déjà de sa chaleur écrasante, le minuscule village, dans lequel la 40ème division d'infanterie de l'Us Army avait élu « domicile ».
    Putain de guerre, fut la première pensée du lieutenant Stevens, alors qu'il se dirigeait avec le reste de ses camarades vers le lieu où était retenu des otages Américains pour la plupart, soldats mais aussi journalistes. Autant dire qu'un beau merdier les attendait sur place.
    La guerre faisait rage depuis 2003. Guerre censée être la mise en œuvre du concept de guerre préventive développé par l'administration Bush dans le cadre de la "guerre contre le terrorisme" qui fait suite aux attentats du 11 septembre 2001 et à l'invasion de l'Afghanistan. Quelle connerie franchement. Tout ça dans le but « de péter le fion du bon vieux Sadam ». Bien qu'adorant son métier, le motif de cette guerre laissait quelque peu perplexe Cole.
    L'heure n'était pas aux débats « philosophiques », mais bel et bien à la stratégie. Plaisantant avec le sous lieutenant Scott le temps du trajet, qui les conduirait bientôt aux portes de l'enfer, Stevens n'avait même pas idée de l'horreur qui les attendait. S'il avait su, il aurait stoppé net cette bande de joyeux lurons, se jetant dans la gueule du loup sans en avoir même conscience.
    Ils détenaient bien peu d'informations sur les otages - qu'on recensait au nombre de 16 – mais surtout sur les terroristes – qui au passage devaient être armés jusqu'aux dents et bien plus encore - tenant captifs ses citoyens n'ayant rien demandé à personne. Un pacte avec le diable avait bien été tenté, mais cela avait été peu concluant. L'ordre avait donc été donné d'aller récupérer, par la force, les otages. Et comme une bonne nouvelle n'arrive jamais seule, et bien s'était tout bonnement tombé sur le coin du nez de la 40 ème division d'infanterie, dont faisait parti Cole Stevens.
    Transpirant à grosse gouttes et blaguant toujours avec Scott, ils arrivèrent bien vite - bien trop vite - devant l'antre du démon. Il ne fallut pas beaucoup de temps aux soldats pour pénétrer dans la bâtisse, qui semblait bien peu protégée et bien trop paisible à première vue, pour que cela sembla normal.
    Ça pue tout ça – pensa Stevens.

    ▬ FLASHBACK ▬
    Bureau du Dr Helïna Thompson - 20/08/2007, 3.15 p.m

    Dr Thompson ▬ Bonjour Cole. Comment allez-vous aujourd'hui ?
    Cole ▬ Bonjour Helïna. Pas pire, pas mieux qu'hier.
    Dr Thompson ▬ Pourriez-vous utiliser le cendrier s'il vous plait ?
    Cole ▬ Pardon, je l'ai raté.
    Dr Thompson ▬ Non, je ne crois pas... Bien, vous me parliez avant hier d'un de vos rêves. Parlez-moi en plus en détail.
    Cole ▬ Celui où j'étais en train de coucher avec une splendide Suédoise ?
    Dr Thompson ▬ (soupir empli de lassitude) Non pas celui-là Cole...
    Cole ▬ Ah, dommage ! Je vois duquel vous voulez parler alors. Et bien je suis en Irak, enfin je pense, du moins le paysage ressemble fortement à ce que j'ai pu voir de ce putain de pays, lorsque ma division a été envoyée là-bas. Je marche tranquillement dans les rues désertes, un chat passe devant moi, en miaulant d'une manière fort désagréable et là... un groupe de soldats zombies m'attaque, alors je me mets à courir, mais impossible de les distancer, je pédale dans la semoule.
    Dr Thompson ▬ Soyez sérieux pour une fois Cole.
    Cole ▬ Mais je le suis suis, Helïna. Je n'ai juste pas terminé.... Au moment où ils m'attrapent, je peux distinguer leurs visages... Je connais chacun de ces soldats.. d'ailleurs il ne s'agit pas que de soldats.
    Dr Thompson ▬ Mais aussi de journalistes c'est ça ?
    Cole ▬ (bruit de déglutition difficile) Oui... Chaque « zombie » a le même visage, la même apparence que mes anciens camarades, mais aussi des journalistes, qui ont été exécutés devant mes yeux, par ces enfoirés de terroristes. (respiration haletante) Pourquoi est-ce que je m'en suis sorti Helïna et pas eux ?
    Dr Thompson ▬ Je n'ai malheureusement pas de réponse à cette question, personne n'en a probablement.
    Cole ▬ A quoi cela sert-il que je continue à vous consulter, si vous n'êtes même pas capable d'apporter la moindre réponse à mes interrogations ?
    Dr Thompson ▬ Je ne suis pas devin bon sang, je suis là pour vous aider à surmonter vos troubles émotionnels. Mon rôle consiste aussi à vous épauler et à transiger avec votre maladie et non à lire l'avenir ou bien le passé dans une boule de cristal... Vous avez-eu de la chance ce jour-là Cole, voilà tout.
    Cole ▬ De la chance ? Vous trouvez que devenir à moitié maboul c'est avoir de la chance ? Et bien pas moi.
    Dr Thompson ▬ Vous êtes loin d'être... maboul. La route qui vous mènera jusqu'à la guérison sera encore longue et parsemée d'embuches, mais ce que je voulais dire, c'est que vous pouvez mesurer votre aubaine. Celle qui fait que vous êtes encore en vie, au sens propre du terme, aujourd'hui.
    Cole ▬ Je suis mort ce jour là, le 23 décembre 2006, en même temps que mes camarades.
    Dr Thompson ▬ J'ai bien spécifié au sens propre du terme Cole.
    Cole ▬ Ah ouais, encore heureux.
    Dr Thompson ▬ J'aimerais que l'on réadapte la dose de votre traitement, cela fait un moment que nous n'y avons pas touché et assurément la dose me semble bien trop forte à présent. Avez-vous observer de nouveaux effets indésirables ?
    Cole ▬ Oui, après les épisodes d'insomnie, j'ai maintenant régulièrement des nausées et des éruptions cutanées.
    Dr Thompson ▬ Bien, je vous refais donc une nouvelle ordonnance avec la nouvelle posologie. J'aimerais lors de notre prochaine séance vous confronter à une thérapie comportementale, êtes-vous d'accord ?
    Cole ▬ Pour l'effet que ça aura... Mouais...
    Dr Thompson ▬ Ne soyez pas défaitiste à ce point, nous allons y arriver. C'est tout pour aujourd'hui.

    ▬ FLASHBACK ▬
    Irak - 23/12/2006 , 11.15 a.m
    US Army - 40th Infantry Division (Mechanized) – 1St Lieutenant Stevens, 2nd Lieutenant Scott, 2nd Lieutenant Greene, Captain Gallagher...

    Putain, mais qu'est-ce que je fous ici ?

    Les mains du lieutenant Stevens étaient moites, serrant difficilement la crosse de son M16A2
    Malgré tout, le poids de l'arme avait quelque chose de rassurant, un peu à la manière d'un nounours apaisant un gosse de 5 ans. Mais voilà ici, s'était loin d'être le pays des bisounours, bien au contraire, les bombardements, les fusillades faisaient partie intégrante de la vie des soldats. Cole n'avait qu'une envie, que cela pris fin et le plus rapidement possible.
    Ce n'était pourtant pas le moment de jouer à la fillette et de se mettre à pleurnicher. Alors il fit ce pour quoi il était payé par l'état Américain...
    Ils étaient maintenant face à un long couloir. Pour une exploration plus rapide des lieux, le capitaine Gallagher ordonna que la troupe se divisa en trois. Stevens se retrouva avec son ami et camarade de chambre, le second lieutenant Scott, mais aussi le second lieutenant Greene - sans doute le plus pétochard de la bande, qui avait au passage un visage d'ado attardé et des oreilles décollées – Le capitaine Gallagher était aussi de la partie – une vraie tête brûlée. Me voilà servi pensa Cole.
    Furtivement ils explorèrent la toute première pièce, se trouvant la plus à droite du corridor. Scott ouvrait la marche, suivi de Gallagher, venait ensuite Stevens et Greene.
    Une odeur de mouton crevé régnait dans la pièce, Stevens eu un haut le cœur. L'endroit était vide à l'exception de quelques tapis posés, çà et là sur le sol. Bien vite ils ressortirent de là. Cette impression qu'une catastrophe éminente n'allait pas tarder à se produire ne quittait pas le lieutenant Stevens. Ce calme apparent, cet « œil du cyclone » n'avait rien de rassurant. Pourtant il fit bonne figure, tapotant même sur l'épaule de Greene pour lui signifier que tout allait bien, qu'ils seraient bientôt de retour au camp et qu'ils fêteraient bientôt cette nouvelle victoire.
    Prudemment, ils investirent la seconde pièce, faisant face à celle dont ils venaient de sortir. Du matériel était entassé en vrac au beau milieu, dont tout une panoplie d'armes diverses et variées, l'accès était plus que difficile. Les otages n'étaient vraisemblablement pas cachés ici. Alors ils ressortirent, pour rejoindre une nouvelle fois le couloir, ils croisèrent le second groupe de soldats, qui ne semblaient pas plus avancés qu'eux-mêmes. Soudainement un cri s'éleva des antres de la bâtisse, suivi de plusieurs bruits de tir. Gallagher dépassa tout le monde, sans réfléchir – comme à son habitude, ce putain de con allait tous les faire buter avec ses âneries - il intima à tout le monde de le suivre. La troupe s'ébranlant au pas de course, se dirigeant vers le bruit. A coup sûr ils allaient se retrouver au beau milieu d'un bordel sans nom. Les coups de feu continuaient inlassablement. Tout comme les cris effroyables. L'adrénaline affluait maintenant dans les veines de Stevens. Son rythme cardiaque s'était accéléré d'un coup. La chaleur et l'odeur étaient insoutenables. La tête lui tournait. Mais qu'est-ce que je fous là? C'est pas ma guerre colonel... Ce n'était guère le moment de se la jouer à la Rambo.
    Captain Jarhead pénétra en premier dans la pièce, d'où semblait s'élever le bruit, à sa suite Scott et Stevens. Ce dernier cru défaillir sur place lorsque la vue de ce magnifique spectacle sanguinolent s'offrit à lui. Au milieu de cette boucherie sans nom, un barbu, perpétuait son œuvre macabre, il s’affairait à découper le cou de ce qui ressemblait à un journaliste, avec un vieux canif rouillé. Sans prendre la peine de réfléchir – à se demander si ce type était doté d'une cervelle – Jarhead/Gallagher ouvrit le feu, sur le barbu, arrosant au passage le type que celui-ci était en train de découper. Autant stopper net ses souffrances... Pauvre con de capitaine !
    Mais qu'est-ce que je fous là ?
    La plupart des soldats de la troisième équipe étaient à terre, agonisants, tout comme la moitié des otages. A vomir. Au milieu de ce chantier, plus grand monde n'était debout. Pourquoi étaient-ils venus ici ?... Cette mission était un échec cuisant. Stevens suivi Gallagher – pas par gaîté de cœur - sur le toit du bâtiment. Une dizaine d'insurgés, tous plus barbus les uns que les autres se tenaient là, sans bouger.
    Putain, qu'est-ce qu'ils mijotent les abrutis ?
    A peine se demanda-t-il cela qu'ils ouvrirent le feu, touchant Scott en pleine tête. Stevens retint un hurlement. Sans sommation, il tira à vue, tout en s'approchant d'un pas rapide du groupe, Gallagher sur les talons. Les types tombèrent comme un château de carte branlant. Pas de Greene en vue, à se demander où ce pétochard de médeu était passé. Gallagher fut touché à son tour et s'écroula de tout son long.
    T'es tout seul mec à présent. Autant dire qu'il était dans une merde noire.


    ▬ FLASHBACK ▬
    Bureau du Dr Helïna Thompson - 15/10/2008, 8.15 p.m

    Dr Thompson ▬ Bonjour Cole.
    Cole ▬ Bonjour Helïna.
    Dr Thompson ▬ Pour l'amour du ciel, le cendrier s'il vous plait Cole...
    Cole ▬ Pardon, je l'ai raté.
    Dr Thompson ▬ Oh arrêtez avec ça.
    Cole ▬ Vous avez sans doute raison. J'en ai marre, c'est tout. Ça fait plus de deux ans, et j'en suis toujours au même point. Comme si deux ans et demi ne suffisaient pas à fouiller toute cette merde.
    Dr Thompson ▬ Bien (bruit de griffonnage). Dites-moi depuis combien de temps faites-vous ce rêve ?
    Cole ▬ Celui avec la Suédoise ?
    Dr Thompson ▬ Cole, un peu de sérieux bon dieu.
    Cole ▬ Ah, vous venez de jurer.
    Dr Thompson ▬ Assez... je parle bien entendu, du rêve dans lequel vous revoyez ce qui s'est déroulé lors du 23 décembre 2006.
    Cole ▬ Je ne vois pas de quoi vous voulez parler.
    Dr Thompson ▬ (bruit sourd) Arrêtez de vous montrez plus idiot que vous ne l'êtes, et par la même occasion arrêtez de me faire perdre mon temps M. Stevens.
    Cole ▬ M. Stevens ? Cela faisait une éternité que vous ne m'aviez pas appeler ainsi... Je fais ce rêve presque depuis le début de nos entretiens. Est-ce un signe ?
    Dr Thompson ▬ Vous êtes vraiment incorrigible... en d'autres termes, vous revoyez la tentative de sauvetage en Irak, des otages, depuis plus de deux ans. J'ai pensé à quelque chose, l'autre jour à ce sujet. Je ne sais pas si mon idée est juste ou non, mais j'aimerais la partager avec vous. Savez-vous ce qu'est une illusion perceptive ?
    Cole ▬ Non.
    Dr Thompson ▬ Imaginez un dessin. Si vous le regardez une première fois, vous verrez un vase. Toutefois, si vous êtes dans d'autres dispositions et que vous le regardez de nouveau, vous verrez deux hommes qui se font face. C'est comme une image cachée derrière une autre image. Ce que vous voyez dépend de l'état d'esprit dans lequel vous vous trouvez. Aussi, lorsqu'une personne ne cesse de regarder le même dessin, ça peut vouloir dire qu'elle cherche à y voir une image cachée. Elle continue de regarder, dans l'espoir que celle-ci apparaitra, mais rien ne se passe.
    Cole ▬ (bruit d'une main passant dans les cheveux) Ce que vous voulez dire, c'est que je persiste à faire ce rêve parce que j'essaie de trouver un sens à ce qui s'est passé ?
    Dr Thompson ▬ Je ne sais pas, qu'en pensez-vous ?
    Cole ▬ Ce que j'en pense, c'est que si vous, vous ne le savez pas, il est très clair que je ne peux pas le savoir non plus. Après tout, c'est vous qui avez un doctorat en psychologie.
    Dr Thompson ▬ Vous n'avez pas tord. Alors mettons qu'en tant que spécialiste, je vous dise qu'il faut vous confronter au passé si vous voulez guérir de vos tourments présents.
    Cole ▬ Mais c'est ce que je fais. En tout cas, c'est ce que j'essaie de faire. J'y pense tellement, à cette putain de journée, que j'en suis malade... Je sais, vous allez me dire qu'y penser, ce n'est pas la même chose que de s'y confronter.
    Dr Thompson ▬ Ce n'est pas ce que j'allais dire.
    Cole ▬ Tant mieux.
    Dr Thompson ▬ Vous savez Cole, l'objectif de nos entretiens n'est pas de vous juger, mais simplement d'explorer les différentes hypothèses.
    Cole ▬ Oui, bon, soit.
    Dr Thompson ▬ Revenons en à notre illusion perceptive. Ce que je me suis dit l'autre jour, c'est que votre rêve pouvait constituer la première image. Vous ne cessez d'y revenir, parce que vous n'avez pas encore découvert la seconde, l'image cachée. Pour l'instant vous ne voyez que le vase. Mais vous continuez d'essayer d'apercevoir les deux hommes. Votre intuition est qu'ils sont bien là, mais, à ce stade, vous n'avez pas été capable de les faire apparaître. Peut-être que ce que vous voyez dans votre rêve ne correspond pas à ce qui s'est réellement passé. Peut-être cela correspond-il seulement aux évènements tels que vous les avez imaginés.
    Cole ▬ Évidemment que je n'ai fais que l'imaginer. J'étais mort, nom de dieu, je me suis pris une grenade qui a bien failli m'arracher la moitié du dos.
    Dr Thompson ▬ Eh bien, l'enregistrement dont vous m'avez parler au téléphone, vous permettrait de voir ce qui s'est réellement passé.
    Cole ▬ (profond soupir) … Cette idée, de visionner une vidéo faite par des caméramans amateurs psychotiques, voulant garder un souvenir de leurs "exploits", ne me tente guère, je dois dire. Je ne sais pas pourquoi j'ai fais mention de l'existence de cet enregistrement.
    Dr Thompson ▬ (bruit de griffonnement) Si les deux hommes sont effectivement présents dans l'image, alors vous pourrez les distinguer. Mais peut-être découvrirez-vous qu'en fin de compte, il n'y a que le vase. En tout cas, quelles que soient vos conclusions, cela pourrait vous aider à surmonter toute cette histoire.
    (raclement de chaise sur le sol)
    Dr Thompson ▬ Cole revenez ici s'il vous plait, et éteignez cette cigarette... zut à la fin !
    Cole ▬ Je suis bien là.
    Dr Thompson ▬ Vous rendez-vous compte qu'à chaque fois qu'un sujet vous déplait, vous essayez de fuir par cette fenêtre ? … La séance est terminée.

    ▬ FLASHBACK ▬
    Irak - 23/12/2006 , 12.30 a.m
    US Army - 40th Infantry Division (Mechanized) – 1St Lieutenant Stevens

    Plus grand monde n'était debout, autant au niveau des soldats, que des otages ou bien des terroristes.
    Toujours sur le toit de la bâtisse où se jouait en ce moment même une représentation bien macabre, le lieutenant Stevens était seul... seul au monde, avec pour seul ami son M16A2, qu'il continuait à tenir avec fermeté, dans le but d'empêcher ses mains de trembler. Il avait la frousse – plus clairement, il se chiait carrément dessus.
    Il venait d'abattre de sang froid cinq barbus, il en restait tout autant. Ceux-ci battirent en retraite par une porte battante, se trouvant non loin d'eux.
    Cassez-vous bande de poules mouillées.
    Cole hésita quelques secondes sur la manœuvre à suivre – la peur lui intimait de se tirer de là au plus vite - puis s’élança à la poursuite des insurgés.
    Alors qu'il empruntait la même porte qu'eux, il se retrouva bien vite confronté à un escalier à moitié branlant, pour ne pas se casser la figure, il descendit à la vitesse d'un escargot asthmatique.
    A peine eut-il posé un pied à terre, qu'un homme à la barbe noire, lui tomba littéralement dessus. D'où sortait-il celui-là ? Sous le poids de ce dernier, Cole vacilla et réussi tant bien que mal et plutôt mal que bien à rester debout, alors il fit volte face et envoya de toutes ses forces la crosse de son arme en plein dans le visage de son assaillant. Un crac sinistre résonna au moment où sa tête partit en arrière. L'homme tomba à terre, le soldat s'acharna sur lui, le regard complètement fou.
    Crève pourriture.
    Quelque chose vint le tirer de son activité ô combien salvatrice. Un objet noir, brillant, en forme d'ovale, roula à ses pieds, émettant un « gling gling » au passage.  Un ricanement sadique s'éleva alors dans les airs.
    Ni une ni deux, Cole fit volte face - le cœur battant la chamade et la peur au ventre – et commença à remonter les marches de l'escalier quatre à quatre.
    Grenade, grenade... fait chier...
    Alors qu'il posait le pied sur la dernière marche, la grenade artisanale explosa, envoyant valser à la ronde tout un tas de trucs tranchants et meurtriers, dont des clous.
    Il fut touché directement au dos. Il sentit quelque chose perforer sa chair. La douleur lancinante, lui arracha un cri. La morsure du tranchant de ce que pouvait contenir la grenade, le stoppa net dans son mouvement. Il s'étala de tout son long dans l'escalier, se cognant au passage le menton contre les marches. L'édifice en bois, rendit l'âme sous le poids du soldat. Tout deux tombèrent durement à terre. Le casque de Stevens se détacha et alla rouler un peu plus loin. Sa tenue couleur sable commença à se nimber de rouge. C'est dans un nuage de poussière, au milieu des débris, qu'il ferma les yeux, l'envie de dormir était très forte... Un pied, chaussé d'une botte noire élimée, se posa presque aussitôt à côté du visage de Stevens. Celui-ci, dans son délire nimbé de brouillard, cru distinguer un objet gris, rectangulaire avec une lentille à son extrémité, dans la main de l'homme à la chaussure noire.
    La scène venait d'être filmée.
    Les ténèbres s'emparèrent du Lieutenant Stevens...

    ▬ FLASHBACK ▬
    Bureau du Dr Helïna Thompson - 07/06/2009, 3.15 p.m

    Dr Thompson ▬ Bonjour Cole.
    Cole ▬ Bonjour Helïna.
    Dr Thompson ▬ Comment allez-vous en cette magnifique journée ensoleillée ?
    Cole ▬ Ah il y a du soleil ? Je n'avais pas fais attention.
    Dr Thompson ▬ Nous sommes en juin...
    Cole ▬ Peut-être... alors ça veux dire que ça fait bientôt trois ans qu'on se voit presque tous les jours. On devrait fêter ça ! (rire nerveux)... Vous devriez arrêter de me demander comment je vais, vous le savez pertinemment, si tout allait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles, je ne serais pas ici, en ce moment même à vous faire la conversation.
    Dr Thompson ▬ Je pensais que vous aimiez juste ma compagnie.
    Cole ▬ Ne me volez pas mon humour Helïna.
    Dr Thompson ▬ Plus sérieusement, vous êtes comme beaucoup de monde, Cole : perdu dans vos zones d'ombre. Vous n'irez mieux qu'une fois que vous vous serez délesté du poids de vos fantômes.
    Cole ▬ Les fantômes ça ne doit pas être bien lourd pourtant (rire franc)
    Dr Thompson ▬ Mais les chaines qu'ils trainent pèsent des tonnes. Reprenons là où nous nous sommes arrêtez la dernière fois... Vous me parliez de votre tante Alicia...

    ▬ Bureau du Dr Helïna Thompson - 07/06/2009, 4.15 p.m - Fin des enregistrements ▬
    ▬ FLASHBACK ▬
    San Francisco- Hôpital d'instruction des armées - 07/02/2006 , 15.30 p.m
    Cole Stevens, Maggie Stevens - Chambre d'hospitalisation de Cole Stevens

    Maggie Stevens ▬ Bonjour mon poussin
    Cole ▬ (soupir agacé) Maman...
    Maggie ▬ (bruit de rideau que l'on remonte) Comment vas-tu aujourd'hui ?
    Cole ▬ Trop bien, je pète le feu comme tu peux le voir... je suis prêt pour le marathon de New York... en chaise roulante ça doit être cool ! (rire nerveux)
    Maggie ▬ Arrête voir d'être aussi sarcastique... Est-ce que tu as revu le psychologue dernièrement ?
    Cole ▬ Je le vois tous les jours et tu le sais très bien...
    Maggie ▬ Et alors que dit-il ? Voit-il une amélioration de ton état ?
    Cole ▬ Il dit que ce sera long... pas d'amélioration, il m'a collé une dose de cheval de Prozac. D'ailleurs après ma rééducation, il me conseille de prendre le large et d'aller m’installer dans un endroit tranquille et calme... histoire que je puisse évacuer toute cette merde.
    Maggie ▬ (hésitation) Ah bon ? Et... est-ce que tu vas mettre ce conseil à exécution ?
    Cole ▬ (bruit de drap froissé) Oui... j'ai bien réfléchis et je crois que le mieux pour tout le monde, serait que j'aille m'installer chez ta sœur, Alicia.
    Maggie ▬ Alicia ? Mais... il n'y a rien à faire là où elle habite. Et tu ne va pas mettre de côté ta carrière...
    Cole ▬ (soupir exaspéré) Ma carrière ? Nan mais t'es vraiment consciente de ce que tu dis là ? Tu crois pas que j'en ai assez vu peut-être ? Ce pays se passera très bien de mes services le temps que j'arrive à me reconstruire, crois-moi. Si on parlait d'autre chose s'il te plaît...



    __Vos sentiments sur Grayson ? : C'est sans doute un village bourré de consanguins de gentilles personnes toutes plus attentionnées les unes que les autres, où il doit se passer tout un tas de choses ultra excitantes... ou pas. En apparence ce village à l'air d'être calme et paisible... Mais ne dit-on pas que les apparences sont souvent trompeuses ? J'espère toutefois que cela n'a pas trop changé depuis mon dernier passage.



« Vous, derrière l'écran »
    __Votre prénom/pseudo : Namy
    __Votre âge : 23
    __Comment avez-vous connu le forum ? : Par le biais de membres
    __Comment le trouvez vous ? : Pas mal du tout, le concept semble très intéressant
    __Avatar : Robert Buckley
    __Votre présence sur le forum : 5/7

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Dernière édition par Cole Stevens le Sam 03 Mar 2012, 20:24, édité 18 fois
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 05:41

Welcome ma Namy youhou !!!!
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Logan Redd
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 05:57

Hello ! Very Happy Début de fiche très encourageant ^^ J'suis jamais trop fan du style scenario dans les dialogues, je préfère le romancé *O* mais j'ai tout kiffé le premier flash back, tu as potassé le sujet (oui bon, c'est partout aux infos depuis des années lol mais quand même ! J'aime !)

Bienvenue à Grayson Cole Smile

*ceci était mon 1000ème message, fètpéteylchampagne rabbit *
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Ezra Johansson
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 08:38

Bravo Logan pour ton millième message !

Super début de fiche Namy. J'ai pris mon pied de bon matin XD les dialogues sonnent justes, même si Helïna a l'air d'être une vieille pute de psy (l'un n'empêche pas l'autre cela dit mmh). J'ai hâte d'avoir la suite. Gros morceau qui t'attend !
Du coup l'histoire sur le traitement me fait dire que tu es "Riley". Am i wrong ? Bienvenue dans tous les cas !
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 13:51

Merci pour votre accueil !
Ouais j'ai potassé un peu le sujet tout de même histoire de ne pas sortir d'énormités tongue Mais bon c'est vrai que c'était pas bien dur d'obtenir des infos ^^
Contente que t'ai pris ton pied Ezra XD Helïna n'est pas une vieille pute, respecte un peu les psy viens ici
J'espère ne pas vous décevoir avec la suite.
Exact je suis bel et bien Riley, d'ailleurs le nom du psy j'ai pas été le chercher bien loin Laughing

Atasanté Logan

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Colleen P. Jefferson
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 14:07

Welcome dear friend !!

Super début de fiche, j'ai beaucoup aimé !
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Aidan S. Donnelly
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 14:17

Bienvenue sur RTS !
Comme tout le monde, je trouve ce début de fiche très prometteur, je l'ai parcouru avec beaucoup de plaisir et j'attends la suite impatiemment ^^ Je viendrai certainement vers toi avec un autre de mes comptes pour obtenir un lien.

Et j'adore ton avatar !

Bonne chance pour la suite cheerleader
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 14:30

Bienvenue Cole et amuse toi bien ici!! Very Happy

Je suis Taylor sur Afterlife.
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 14:37

Merci à tout le monde pour cet accueil fort chaleureux ! Contente que le début de ma fiche vous plaise.
Merci pour l'avatar Aidan ! Ce sera avec grand plaisir pour un lien.

Ohh Taylor ! (je ne t'aurais pas reconnu XD)
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 14:42

Moi non plus si Ezra n'avait pas dit que c'était toi XD

Bonne chance pour finir ta fiche. Smile
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 17:46

Bienvenue Smile J'suis heureuse de notre lien c'est trop beau Very Happy !!! <3
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 17:51

Moi aussi je dois dire que je suis contente de notre lien ! Tatieee Razz
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David S. Handel
David S. Handel



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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 18:14

Ouais, à peine arriver qu'il a déjà un tas de copains! zomb

Bienvenue et bonne chance pour la suite Razz
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 18:33

Merci David, mais ne soit pas jaloux Razz
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Samuel T. Donnelly
Samuel T. Donnelly



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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 19:55

Je n'ai pas eu le temps de lire ta fiche (ce que je ferais sans tarder) mais je te souhaite d'ores et déjà la bienvenue!
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 19:58

Merci Samuel !
Voilà je crois que c'est bon, j'ai terminé.
J'espère que l'histoire sera compréhensible.

S'il faut que j'étoffe une partie n'hésitez pas !
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The Scarecrow
The Scarecrow

I'm the boogeyman...

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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeSam 03 Mar 2012, 20:16

Bienvenue sur “Road to Salvation”…
    …et merci de ton inscription. Très bonne présentation, très agréable à lire. J'aime le fait que tu aies alterné entre dialogues et rédaction pure et dure, ça équilibre parfaitement ta fiche.
    Le personnage m'a l'air fort intéressant et avec les liens que tu as déjà, tu n'auras sans doute pas le moindre mal à t'intégrer à l'histoire ^^ Quant à l'intégration au forum, étant donné que tu connais déjà une partie des joueurs : ça devrait rouler !
    Je ne vois rien d’autre à ajouter et te valide. Tu peux désormais poster dans toutes les catégories du forum et commencer à RPer. La section gestion du personnage te permettra de te créer un répertoire de liens et de trier tes sujets (pour rappelle, les sujets doivent être rangés par joueur, tu peux consulter le règlement de cette section pour en savoir plus).
    Je t'invite à aller réclamer un emploi et un logement également.
    Le flood des RP pourra te permettre de communiquer avec les autres joueurs une fois tes sujets lancés.

    Ayant choisi un INHABITANTS tu remportes dores et déjà 20 pts à dépenser comme tu le souhaites ! Pour voir ce qu'ils te permettent d'obtenir, tu peux consulter le sujet d'explication du système de points du forum.

    Le forum possède également un système de parrainage pour aider les nouveaux venus à s'y retrouver et à mieux s'intégrer. Je t'invite donc à te rendre dans la section suivante si tu es intéressé(e) : PARRAINAGE.

    Have fun !


    -Le staff de RTS

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Elizabeth M. Pryde
Elizabeth M. Pryde



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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitimeLun 05 Mar 2012, 10:14

Saluuuut nounouuuu
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MessageSujet: Re: Cole Stevens ϟ La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme    Cole Stevens ϟ  La dépression frappe au hasard : c'est une maladie, pas un état d'âme  Icon_minitime

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